Le stress chronique est un véritable fléau de la vie moderne, source de nombreux maux et maladies. Découvrez ce qu’il est possible de faire, pour améliorer sa santé et son bien-être, pour se protéger du stress grâce à la réflexologie.
Nous avons vu dans le premier article que la fatigue mentale était un processus progressif. Dans le deuxième article, nous avons examiné les différentes causes menant parfois jusqu’à l’épuisement. Chez beaucoup de personnes des causes psycho-sociales sont à l’œuvre. Il s’agit de tout un ensemble de comportements et de routines mentales qui affectent notre rythme et notre équilibre naturels. Ces modes de vie et de pensée sont globalement favorisés par le monde dans lequel nous vivons.
Nous avons vu dans l’article précédent que la fatigue mentale est un processus progressif, s’installant dans la durée. Il peut mener à une grande souffrance et être dangereux pour notre santé, notre vie familiale comme professionnelle. On se sent toujours fatigué, dès le lever. Pourquoi est-ce que les temps de repos ne nous reposent plus ?
La fatigue mentale est directement liée à notre époque. En effet, nous vivons dans une société de performance, un monde fait de compétitions, de comparaisons, d’urgences, de notifications incessantes, d’informations en continu. Il faut penser à tout, tout le temps. Tout faire, vite et bien. Être efficace sur tous les fronts, aussi bien professionnel que personnel. Nos modèles sont des super-hommes ou des super-femmes, menant de front mille activités et les réussissant toutes – famille, couple, travail, sport… Infatigables, ils ne se reposent jamais : « Je me reposerai quand je serai mort ! » semblent-ils nous dire, comme si le repos était une faiblesse, une paresse coupable.
La réflexologie permet de soulager certains problèmes digestifs. Elle est efficace dans les cas de coliques, principalement chez les nourrissons. (A lire sur ce sujet : La réflexologie pour bébé et enfant). Chez les adultes, elle est particulièrement efficace contre les problèmes de constipation et les ballonnements.
Nous l’avons vu le mois dernier, les troubles digestifs peuvent prendre des formes très variées : infections virales ou bactériennes, troubles fonctionnels, allergies, maladies auto-immunes… Aujourd’hui, je vous propose d’explorer notre microbiote intestinal, c’est-à-dire l’ensemble des micro-organismes qui peuplent notre tube digestif. Nous allons voir que l’équilibre de cet écosystème est indispensable à la bonne santé globale de notre organisme.
De plus en plus fréquents dans la population, les problèmes digestifs rythment la vie de millions de personnes. Du mal de ventre bénin et passager aux maladies auto-immunes, ces troubles existent sous des formes très variées. Quelles sont les affections les plus courantes du système digestif ? Faisons le point ensemble.
Publication du 20 mai 2020 modifiée et complétée
Un instant de réflexion sur les façons d’affaiblir ou de renforcer nos défenses immunitaires :
Cet article n’est pas destiné à minimiser les effets des coronavirus sur la santé. Ma réflexion et mon intention proposent de comprendre le fonctionnement de nos cellules, tel que nous le présente le biologiste américain Bruce H. Lipton Ph.D., et d’oeuvrer ainsi au quotidien en faveur du renforcement de nos défenses immunitaires…
Comme nous l’avons vu précédemment, une bonne hygiène de vie permet de mieux dormir naturellement. Parfois, un accompagnement supplémentaire est nécessaire, notamment lorsque certaines habitudes ou certains troubles tels le stress chronique sont installées depuis longtemps. Chez les bébés et les jeunes enfants, un sommeil perturbé peut être le signe d’une naissance difficile et traumatisante. Là aussi la réflexologie est efficace.
Voici comment ma pratique de thérapeute réflexologue peut vous aider, vous ou votre enfant, à retrouver un sommeil profond et réparateur.
Dans l’article précédent, nous avons découvert les différents troubles du sommeil qui pouvaient perturber nos nuits. Aujourd’hui, concentrons-nous sur l’insomnie, une insuffisance de sommeil qui, selon l’OBSAN, touche en Suisse plus de 34% de la population (statistique 2017).